La Contrebasse
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En tournée de janvier à avril 2015

La Contrebasse

Clovis Cornillac relève à nouveau le défi de jouer, seul, cette pièce, et succède ainsi à Jacques Villeret. Le comédien nous livre une interprétation intense !

Sur un texte de Patrick SÜSKIND Mise en scène Daniel BENOIN Avec Clovis CORNILLAC Lumières Daniel BENOIN Décors Jean-Pierre LAPORTE Costumes Nathalie BERARD-BENOIN Mentions : Pascal Legros Productions, en accord avec le Théâtre de Paris, DBP et Arts Live Entertainment Durée : 1h40 sans entracte
L'instrument le plus grand, le plus gros, le plus grave de tout l'orchestre est aussi le plus puissant, le plus beau, le plus indispensable, dit d'abord le contrebassiste. Mais bientôt l'éloge pompeux de cette encombrante compagne qui occupe toute sa vie laisse transparaître les frustrations et les rancœurs du musicien et de l'homme. Peu à peu, il la dénigre, il l'insulte, il la maudit, il se révolte, il devient fou… Le personnage qui monologue incarne une solitude extrême, exemplaire, métaphysique. C’est une véritable introspection que l’histoire de ce musicien solitaire qui parvient à nous faire rire aux larmes.

Le mot du metteur en scène

Reprendre La Contrebasse de Patrick Süskind tient du défi. Pour ceux qui ont vu le spectacle joué par Jacques Villeret, le texte semble marqué par l’interprétation qu’en a faite le comédien il y a plus de vingt ans. Mais, en relisant Süskind, on s’aperçoit que cet écrit peut, comme tous les grands textes, être réinterprété, repensé, incarné d’une autre manière, envisagé sous un autre angle et sans doute en permettre une vision nouvelle. On sait combien des héros tels Hamlet, Dom Juan ou Faust, mais aussi des personnages plus quotidiens comme Woyzeck, Mr Smith dans La Cantatrice chauve ou Champbourcy dans La Cagnotte, pour ne parler que de ceux que j’ai mis en scène, sont totalement transformés par une nouvelle vision, un nouvel acteur, un nouveau parti pris. C’est dans cet esprit que Clovis Cornillac va entrer en scène. Grand acteur de théâtre devenu star du cinéma, il revient avec ce projet vers l’art premier de l’interprète. Parions que nous saurons tous les deux ouvrir une porte nouvelle au texte de Süskind, tout en rendant un hommage, peut-être à contrario, à Jacques Villeret.

tout le monde en parle

Le Parisien
« Vingt ans après Jacques Villeret, Clovis Cornillac reprend sur scène ce monologue d'un musicien lié pour le meilleur et pour le pire à son instrument. »
Aurélie SELVI - 20 Minutes - Edition de Nice-Cannes
« Une prestation drôle et profonde. »
Etienne SORIN - Figaroscope
« Cornillac, tour à tour émouvant et inquiétant, donne une belle épaisseur à ce soliloque d'un raté. »
Barbara THÉATE - Le Journal du Dimanche
« La petite musique de Clovis Cornillac. Ça démarre fort ! »
Direct matin
« Dialogue fructueux avec une contrebasse ! »
Télérama
« Clovis Cornillac aborde ce rôle en homme solide, déterminé. »
Toute la culture.com
« Clovis Cornillac réussit un vrai tour de force. Son jeu est une merveille de précision. Courez-y, vous aurez du mal à reprendre votre souffle. »
A Nous Paris
« Clovis Cornillac parvient à faire résonner la force de ce texte ! Royal ! »
Marie France
« C’est la pièce qui fait le buzz à Paris en ce moment. Absolument hilarante avec un très très grand Clovis Cornillac ! »
Fous de théâtre.com
« Une maestria qui impose le respect. A ne pas manquer ! »
Barbara THEATE - Le Journal du Dimanche
« Clovis Cornillac offre un formidable numéro d’acteur ! »
Morgane LAS dit PEISSON - Le Mensuel
« Entre haine et passion, entre dévotion et rébellion, c’est au cœur d’une véritable catharsis que l’acteur, à travers un jeu complexe et intense, nous conduira. »

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