Une pièce de Dominique WARLUZEL
Mise en scène Delphine DE MALHERBE
Avec Pierre SANTINI, Jean-Pierre KALFON et Bertrand NADLER
Décors Catherine BLUWAL
Lumières Marie-Hélène PINON
Musique Sylvain MEYNIAC
La pièce.
Deux destins issus du même berceau et du même univers. Deux personnalités fortes que pourtant tout divise. Deux êtres voués à un inéluctable affrontement. Violence, ressentiments, passions et nostalgies en seront les composantes. Liens du sang et de l'âme en formeront le tissu : celui d'un combat fratricide dans l'arène d'un huis clos.
Fratricide est à la fraternité ce que le crime est à l'amour. Ce texte de Dominique Warluzel, puissant, profond et qui sait aussi provoquer le sourire, s'inscrit dans la veine de ces pièces à huis-clos, où les vagues de l'enfance replongent nos héros dans une marée de non-dits et de désirs enfouis.
Le mot du metteur en scène.
« Fratricide » est à la fraternité ce que le crime est à l’amour. Ce texte de Dominique Warluzel puissant, profond, et qui sait aussi provoquer le sourire, s’inscrit dans la veine de ces pièces à huis-clos, où les vagues de l’enfance replongent nos héros dans une marée de non-dits et de désirs enfouis. C’est ici un duel musclé qui s’annonce dans le cadre du bureau d’un avocat successfull. Deux frères que tout oppose, du moins en apparence, deux frères qui ne se sont pas vus depuis vingt ans, Fabien et Jean, se retrouvent soudainement réunis par le testament de leur père. Un héritage lourd qui ne semble pas être celui du cœur. Sobre mais tendue, la mise en scène s’attachera à mettre en valeur cet affrontement de joutes morales et verbales. Un match de boxe, où des fils qui se tirent et se distendent accentueront la partition serrée qui se joue entre ces deux figures hautes en couleur, ni blanches ni noires, mais riche de mille facettes et nuances, loin de toute idée lisse ou manichéenne de l’âme humaine. Il fallait les talents immenses de Jean-Pierre Kalfon et Pierre Santini, leurs univers dangereux, pour raviver l’écartèlement intérieur subi par les personnages en une telle situation.
Dans un décor cossu mais moderne où une toile peinte permettra au public d’être immergé totalement dans un univers décalé, les lumières et la direction d’acteurs s’attacheront à densifier la guerre que se livrent nos héros. L’intensité dramaturgique en sera tellement renforcée, que Jean-Pierre Kalfon et Pierre Santini, feront, cela est sûr, trembler la salle d’émotion.
Ce qu’en dit la presse…
« C'est magnifiquement construit, on va de surprise en surprises. »
Un véritable thriller, on n'en perd pas une miette. J'ai passé un vrai bon moment.
SORTIES-A-PARIS
« Haletant, émouvant, magistral. »
"Les deux comédiens nous offrent un duel haletant, émouvant, magistral." " N'en disons pas plus parce que l'un des plaisirs de ce spectacle bref est dans le dévoilement progressif de deux destins et dans les sentiments ambivalents"
Armelle Héliot,
FIGARO
« Un impressionnant duo d'acteurs »
"bêtes de scène dans toute leur splendeur! "
AVINEWS
« Du lourd! »
"Les classiques nécessitent des acteurs de poids, des qui connaissent le fond des choses et savent les remonter à la surface. Là, on est servis !"
L'EXPRESS
« Du grand théâtre ! »
" Deux comédiens d'envergure qui nous offre là un superbe duo. "
REG'ARTS
« Excellent! »
"Le duo fonctionne en symbiose dans ce duel qui repose sur les affects enfouis et commence par des échanges de balles à fragmentation. Rien dans le jeu ne laisse présager l'inattendu dénouement."
FROGGY'S DELIGHT
« C'est un plaisir ! »
" Pierre Santini et Jean-Pierre Kalfon forment un superbe couple sur scène, c'est un plaisir! Un tableau vivant fort bien éclairé par la mise en scène de Delphine de Malherbe et signé par un portraitiste de talent: Dominique Warluzel. "
LE MONDE
« Il n'y a aucune bonne raison de bouder ce huis clos sec et tendu. »
" Un excellent travail d'artisan. Et cela tient de l'éloge."
M.H,
A NOUS PARIS
« Le texte est bien ficelé (...) le jeu des deux acteurs est efficace. »
TELERAMA
« Disons-le d'emblée, c'est une réussite ! »
Le texte dense et serré de Warluzel est bien servi par une mise en scène (Delphine de Malherbe) sobre, au ton juste et, surtout, par le jeu émouvant et subtil des deux frères ennemis, Pierre Santini, l’homme de la réussite et Jean-Pierre Kalfon, l’homme de la déchéance.
Jean-Noël Cuénod,
LA TRIBUNE DE GENÈVE
Actuellement au Théâtre de Poche Montparnasse
Pascal Legros organisation / 87 RUE TAITBOUT 75009 PARIS / info@plegros.com / Tél : 01 53 20 00 60